Esoterica tobacciana Stonehaven

Esoterica tobacciana Stonehaven

Que dire? Comment le décrire?
Tout ce que je sais de ce Stonehaven, c’est que je l’apprécie beaucoup. J’en ai fumé qu’une pipe mais j’ai l’impression que j’ai pu le cerner. Je ressens cela sur certains mélanges alors que pour d’autres, je sais qu’il me faudrait 3-4 pipes pour me faire un avis plus au moins clair.
Et pourtant, j’ai de la peine à poser des mots sur mes sensations. Il me parait simple mais dans le bon sens du terme. Un goût de tabac quoi. Pourtant j’ai fumé plusieurs tabacs qui ont juste un goût de tabac et qui ne sont pas top.
S’arrêter-là ne serait pas lui rendre hommage.
Pas évolutif? Oui... et pourtant il ne m’ennuie pas et plus la pipe avance, plus le plaisir augmente.
Comment donc le décrire en quelques mots? Possible ou non?

Je dirai que c’est un excellent VA/burley à l’ancienne. Pas extraverti mais pas franchement austère pour autant. Le cacao du burley mais avec une trame élégante due au virginia. Un tabac de campagne ne manquant pas de noblesse.

C’est très succinct mais c’est ce qui se rapproche le plus de ma vérité.

Je peux m’arrêter là car il me semble que j’ai dit l’essentiel. C’est un tabac qui ne se décrit pas mais qui se fume et s’apprécie. Un plaisir de connaisseur peu bavard. (Gilles Suisse)

À l'ouverture du sachet, je découvre de beaux flakes sombres, mais ce qui me frappe, c'est l'odeur !
Magnifique odeur de cacao, de caramel et de pain! On a envie d'en manger et de se passer de la pipe, c'est dire !
Le tabac semble un poil humide, je laisse donc sécher et choisi une Twiggy pour l'accompagner.
Bol étroit mais avec pas mal de volume.
Je décide de plier un flake et de l'allumer tel quel.
Première surprise, je m'attendais à avoir du mal à l'allumer et pas du tout, ça s'allume tout seul et commence directement sur des notes de cacao typique des Burley blend, c'est bon, vraiment bon.
Je ne décèle alors aucune autres notes.
Un bon goût de tabac et de chocolat noir tout au long du fumage, avec peu voir pas d'évolution.

Le premier fumage me laisse un peu sur ma faim. Surtout, la nicotine me met un coup derrière la tête.

Qu'à cela ne tienne, il me faut un deuxième essai et pour cette deuxième joute, j'utilise une Missouri.
D'emblée je note une nette différence. Le tabac se révèle plus sucré avec des notes de caramel, mais également de sel et de poivre.
Waaaahhh, ce n'est vraiment pas le même tabac, quelle association !
Les arômes évoluent vers l'abricot, les fruits secs et le chocolat. Le poivre quant à lui s'estompe petit à petit.
À la moitié du bol, ça évolue encore pour aller vers quelque chose de plus austère. Du bon goût de tabac, mais également de pain et cela jusqu'à la fin du bol, avec un retour du poivre sur la fin.
La nicotine est quand même assez présente pour moi, mais ça reste supportable.

Alors deux conclusions. La première c'est que ce tabac est très très bon. La deuxième c'est qu'à l'instar d'Erwin, je trouve que les Burley se révèlent dans une pipe en maïs et s'en trouvent magnifiés.
Selon mon humble avis, Burley + pipe maïs + café c'est l'association parfaite. Je conseillerai un café fait en méthode douce pour l'accompagner (hario/chemex) ou encore un cappuccino et non un Espresso qui pourrait écraser l'Esoterica qui est plus fin qu'il en a l'air. (SendoT)

L’échantillon dégusté provient d’un lot de 200 g conservé une bonne douzaine d’années dans un bocal Le Parfait. Il s’agit de très beaux flakes, surprenants par leur aspect sombre et humide. Mesurant une quinzaine de cm de long, ils sont coupés si fins (1,5 mm d’épaisseur) qu’on jurerait qu’il s’agit de copeaux de chocolat noir…
Le chocolat noir amer, justement, vous saute au nez dès l’ouverture du bocal. Ce parfum évolue vers le sous-bois, les champignons puis la noix des grands amontillados de Jerez, célèbres vins secs fortifiés andalous.
Le début de pipe est frais avec une fumée en apparence svelte qui se révèle veloutée et distille un peu de poivre, de moka et de nicotine. Un tabac qui réveille ! Son parfum très agréable m’évoque le poivre, la noix de coco et évolue vers le cèdre. La rétro-olfaction est une douce réminiscence de chêne fin qui me fait songer à un grand vin rouge évolué.
Au deuxième tiers, La fumée se montre satinée avec plus de mâche. Les saveurs rappellent le terreau, la tourbe grasse, la cape de cigare et le goudron. Du côté des douceurs certains évoqueront le « bounty ». Mais, ce tabac délivre assez peu de sucre. Avec lui nous côtoyons l’âme profonde du burley… Avec ce qu’il faut de sophistication. La noblesse de ses saveurs me rappelle un cuir précieux délicatement floral qu’on trouvait dans les vieux Guerlain.
Au rallumage, à mi-bol, le tout devient plus terre à terre : touche alcaline, note épicée et cendrée de chêne fumé. De l’intensité, une pointe d’aigreur et toujours ces notes de bois précieux qui m’évoquent un grand vin fin. Si c’était une femme, ce serait une beauté généreuse telle Ava Gardner. Si c’était un vin… je dirais que le Stonehaven est le château Rayas du burley, à savoir ce qui se fait de mieux en châteauneuf-du-pape. Une ode à la délicatesse du grenache noir ! En finale, je perçois encore de la réglisse en rouleau, du chocolat noir, des notes de cigare et de champignons crus (cèpe et shiitake). Un tabac qui laisse une belle bouche et qui, s’il n’était pas aussi rare, pourrait constituer un all day smoke malgré sa présence rassasiante. Attention néanmoins, il peut vous accélérer le palpitant. (Skiff)

Un premier flake fumé, et je reste ébahi devant une telle longueur de flake et cette couleur sombre et appétissante, dont les relents chocolatés invitent sans plus attendre à la dégustation. Ca sent bon, ça sent même très bon, à la fois le vrai tabac, mêlé à ces odeurs alléchantes de foin mouillé et de senteurs cacaotées.

Je précise de suite que je ne suis pas du tout amateur de Burley, préférant les bons vieux anglais et autres mixtures orientales. Ceci dit, ce qui m'est proposé là n'est pas du tout pour me rebuter !

Après allumage, tout de suite c'est très rond, une fumée extrêmement savoureuse, où se distingue pour moi le café grillé, les céréales, un petit côté brioché qui apporte une touche d'acidité juste comme il faut - C'est vraiment très bon ! Il s'associerait à merveille avec un Hong Cha Mao Feng, excellement thé noir de Chine de la région de Hunan, mais pour ce soir un très bon fond de Talisker Dark Storm lui sied tout autant...

Il est en effet tard ce soir-là, le ciel est encore clair et une douce brise vient rafraîchir une journée chaude et emporte les volutes. Tout est calme et les étoiles qui commencent à s'allumer n'invitent qu'à la contemplation et à l'émerveillement du temps présent qui semble s'être arrêté. On est vraiment bien, on est même très bien !

J'ai le sourcil qui se fronce parfois, car je dois rallumer fréquemment, est-ce le tabac encore un peu humide ? est-ce le flake mal bourré ? C'est un peu pénible...

Sur la deuxième partie, le bol apparaît plus sombre, plus prononcé, je reste dans les mêmes saveurs de chocolat noir, de vrai tabac, et ce n'est en aucun cas lassant. C'est un tabac qui se consume lentement, un tabac de contemplation, de moment à soi, qui impose de vivre l'instant d'un bonheur simple et serein !

Et puis, la fraicheur arrivant et la pénombre recouvrant de plus en plus ce ciel très calme, je termine ce premier bol un peu rapidement, est-ce aussi l'effet des rallumages où j'ai dû tirer un peu dessus ? Quoi qu'il en soit, je sens venir une impression désagréable au fond de moi... C'est la nausée qui s'approche, intrigante, discrète voir perfide, qui tout du long s'est gardée de se manifester, tapie dans l'ombre sous le calme apparent du moment... Et puis ça monte, ça monte, ça monte encore, on se lève, on marche, on respire, mais ça vous suit... Sueurs froides sur tout le corps, tête qui tourne, nausée voluptueuse, vous passez du pont chaud d'une sage felouque voguant sur un Nil endormi, à la cale mazoutée d'un chalut bruyant traversant le Cap Horn un jour de tempête !!!

Mon Dieu, quelle est loin la brise rafraichissante... Adieu étoiles reposantes, adieu Talisker, je suis bel et bien dans le "Dark Storm" !
Mazette, je n'avais plus connu cela depuis belle lurette, me souvenant avec difficulté d'une ou deux mauvaises cuites estudiantines... Fouillouilouille, je dois attendre une bonne demi-heure pour retrouver mes esprits, les idées claires, et un souffle apaisé ! Je me savais sensible à la nicotine, mais pas à ce point... Ce tabac mythique est un coquin qui rappelle ce qu'est un "vrai tabac", en dépit de ses rondeurs chocolatées. Un 'all day smoke' ? Why not... mais pas pour moi !
Il me reste un flake, que je prendrai bien de fumer différemment, mais sans médire de l'excellence de ce tabac telle qu'expérimentée avant de basculer ce soir-là dans l'Upside Down... ;) (EtienneB)

Premières impressions, ce tabac se conserve très facilement. En effet, l'ayant stocké pendant plusieurs mois sans réellement m'en soucier dans son sachet plastique au fond d'un placard (honte à moi), les flakes ont gardé une belle hygrométrie et restent très souples. Je dirais même que le tabac est encore trop humide et nécessite de sécher un bon moment avant toute chose.

Les tranches de flake sont très belles, ma tronche de cake apprécie. On y distingue plusieurs tabacs : des très foncés très noirs, et des bruns, très foncés aussi, mais je suis bien incapable de dire ce qui est quoi !

Au pif mais pas au hasard (enfin, peut-être), direct, ça sent le chocolat. Pas le "chocolat", type Nutella/noisette, de supermarché, non, là ça sent plutôt le cacao, le chocolat noir de chocolatier, celui à 90%, que je détestais quand j'étais gamin mais dont j'ai appris à apprécier l'amertume avec le temps. En se plongeant un peu plus dedans, la puissance du chocolat noir s'estompe et j'ai ensuite en tête les chocolats chauds au lait faits avec du vrai chocolat et du vrai lait (de vache, hein, pas d'avoine, ou d'orge, ou de je ne sais quoi).

Bref, ce Stonehaven sent bon et de ce que j'ai compris c'est le Burley qui fait les Chocapics. Ha oui, c'est mon premier Burley aussi (y'a pire comme début).

Passons aux dégustations : une première dans une Gambier 1484, et une deuxième dans une Bent Country Gentleman de Missouri Meerschaum.

Et bien là, sur ces deux premiers essais, plus grand chose... Je ne sais pas si c'est mon manque d'expérience ou mon palais sous-développé, mais il est compliqué de trouver l'inspiration pour parler de ce tabac, tout autant que je l'ai apprécié.

J'ai bien trouvé quelques notes de chocolat (encore une fois) mais là plus en poudre qu'à 90%, une certaine douceur sur laquelle les aros (puah) pourraient se caler pour être plus appréciables, et rien d'autre ! Peut-être est-ce aussi dû au fait que, à cause de mon impatience, je n'ai pas laissé les flakes se dessécher autant que nécessaire ? Fort possible, après tout la combustion a été lente, très leeente, et a nécessité beaucoup de réallumages...

N'empêche que, au niveau complexité, on reviendra. Soit il est sage et sait bien ce tenir, soit j'ai pas su le lire. En tout cas, il reste bien éduqué et ne fait pas dans l'excès. Les prochaines fois je tâcherai de faire preuve de plus de patience et de l'aborder avec plus de tact au début (en émiettant correctement, laissant sécher bien 30 minutes, temps) afin de lui permettre de mieux s'exprimer, tout autant qu'il en ait envie.

Edit : Ne pas fumer le ventre vide, il attaque un peu. (abarray)

J'ai commencé avec une petite Svendborg sablée. Les flakes, longs et sombres, ont quelque chose de frais et presque mentholé quand je mets le nez dans le sachet tout juste sorti de l'enveloppe. Il y a un côté fruits très mûrs, fermentés presque. La texture est humide, pas trop, un peu huileuse.
La fumée commence assez doucement, herbe coupée et noix verte, mais après les premières bouffées s'épaissit. On retrouve le côté fruits mûrs du nez, avec une pointe de fraîcheur qui l'empêche d'être trop lourd.
On glisse ensuite vers des choses plus boisées, et on y reste. Nuances acidulées (orange amère) : c'est sérieux mais pas lourd ; il y a de temps en temps une bouffée un peu poudrée façon parfum de rose ancienne.
Je suis resté longtemps sur ce palier boisé un peu asséchant, qui aurait dur sans ce petit côté aigrelet qui donne de la vivacité.
C'est un tabac remarquablement équilibré, sérieux mais pas vraiment dur ; pas vraiment un tabac d'été cependant : il appelle davantage les matins brumeux ou le feu de bois du soir.

Dans mon Enrique silex brandy, on démarre léger et guilleret : foin coupé, fruits secs (abricot ?), amande (à peine) grillée, un peu de chocolat en poudre, une note briochée. On est au milieu d'une après-midi grise : je tiens mon goûter !
Si la fumée s'épaissit et s'assombrit peu à peu, elle garde une pointe de fraîcheur. Marmelade d'oranges amères, cette fois aussi, toujours un peu de cacao, une nuance de graphité parfois. Il y a aussi un peu de bois, plutôt parfumé (Santal ?) qui laisse une impression un peu rêche sur la langue. Il y a cependant aussi une note de parfum : floral, léger, qui permet de garder une nuance aérienne à ce tabac plutôt terrien.
Terrien, complexe, un peu asséchant : il y a un long palier sur ce mode là. Et la finale le concentre : elle pétrole un peu, comme certains vieux Riesling ; le boisé tire plutôt vers le chêne. La pipe paraît finir austère, concentrée, revêche presque. Et pourtant non : le tabac parvient à s'alléger un peu pour que les dernières bouffées, plus aériennes, laissent un souvenir plus nuancé.

Dans ma petite Jean Nicolas, que je retrouve ainsi après un (trop) long repos dans le tiroir, le démarrage reste léger et fruité, et si le tabac s'assombrit peu à peu, il m'a paru rester plus civilisé, il y a encore du chocolat, mais plus sucré, au lait presque, il y a une note de fraîcheur aussi et je retrouve quelques bouffées d'oranges amères. Il m'a fallu attendre le dernier tiers pour retrouver le chocolat noir.
Je suis moins concentré sans doute, parce que d'autres occupations m'attendent, mais peut-être le tabac a-t-il un peu évolué aussi. Il a gardé toute sa souplesse, son odeur aussi, à cru comme au cours du fumage, mais il a eu le temps aussi de s'ouvrir et de prendre l'air, se livrant de façon un peu plus chaleureuse.
Evidemment, je suis heureux d'avoir pu goûter un tabac que sans doute je ne retrouverai plus, grâce à Skiff que je remercie chaleureusement. Mais je suis étonné, malgré une certaine cohérence de mes impressions, par cette évolution sur quelques semaines, qui donne un tabac à facettes, qui sait en quelque sorte s'adapter au moment. Ce qui donne envie de continuer l'expérience... (BrunoC)

Je viens tout juste de terminer mes 50 grammes de Stonehaven. Les gros flakes sont issus de la collection de Tontonlat’. Quand il mettait les tabac anglais en pause, il fumait bon le bougre. Larges, longs, foncés, ces gros flakes sentent bons. Chocolat noir, un peu de champignon, un côté cigare, ça s’annonce bien. Le tabac se prépare pas mal, la plupart du temps, il s’effrite mi-brins, mi-cub cut. Je bourre par gravitation, tasse légèrement et roule.

Il s’allume bien et reste allumé sans trop de difficulté. Mais voilà. C’est le problème avec les tabacs à la solide réputation. On s’attend à être submergé. On voudrait être placé sous l’avalanche de goûts, profiter d’un feu d’artifice, bref, faut que ça claque le palais, que ça frise la narine, que ça vous émousse. Bon. Comment dire? C’est du bon tabac, sans nul doute. C’est chocolaté. Oui, vraiment, mais alors vraiment. C’est très fondu et souple, comme si le chocolat noir tapissait le palais. C’est sombre. Le plaisir est au rendez-vous.

Mais.

C’est quand même ennuyeux. Enfin, on est bien quand on a ça dans son foyer. Mais au moment où je partais en vacances, au moment de choisir les tabacs à emporter, je ne me voyais pas n’avoir que cela dans la catégorie Burley… alors, j’ai glissé un Navy flake de Macbaren. Croyez le ou non, mais entre un premier de la classe pur nature et un fripon Danois, j’ai souvent opté pour ce dernier. Alors oui, j’entends déjà les puristes, les orthodoxes du unscented, les ayatollahs du tabac nu… Quoi? On ose comparer un noble flake d’une maison charmante au rustre tabac pressé même pas estampillé HH?

Non. Non, je ne compare pas. Je relate une expérience. Il se trouve qu’une fois en vacances, j’avais le choix entre les deux à l’heure où je voulais m’enjailler là papille au Burley. Et bien, je sais pourquoi le Navy me faisait du gringue. Son fun, son côté désinvolte, en un mot sa joie m’attirait davantage que le bon, le bien fait, le très raisonnable Stonehaven. (sooafran)

Mon lot vient de la même source, mais je ne l'ai pas encore terminé. Il faut dire que ce n'est pas un tabac qui m'enchante totalement, et je mets du temps à le fumer.
C'est dommage parce que son nez est sympathique. Je sens le chocolat, le tabac, quelques notes forestières, et parfois le fromage industriel qui a vieilli dans le frigo.

Je l'ai essayé en flake quasi intacts, très émietté, et parfois en petits brins. Le tassage doit être souple, sinon le fumage devient impossible. Mes conclusions ne changent quasiment pas. Le tabac est très doux, et très chocolaté. Franchement c'est délicieux. Je dois même dire que l'allumage est mon moment préféré, car c'est le moment où je ressens le plus l'essence de ce tabac sans que ma bouche ne soit agressée. Cependant, le reste du fumage est long. Très long. C'est presque monochromatique, et pas assez fort à mon goût : je finis toujours par m'ennuyer. Ce tabac, je ne le fume que lorsque j'ai quelque chose à faire en même temps. Franchement, je n'ai pas grand-chose à rajouter. Je suis un peu déçu.

Et finalement... J'ai voulu envoyer ce compte-rendu, mais je me suis lancé dans une dernière expérience : essayer le Stonehaven dans une pipe dédiée aux virginia/perique. Allez savoir pourquoi. Si l'expérience n'est pas sensationnel, les arômes durent plus longtemps et gagnent légèrement en intensité. C'est tout, mais c'est suffisant pour me décider : je terminerai ce tabac dans cette fameuse pipe. Cela égayera les prochains fumages. (AlexanderVanPollakof)